Cinq détenus bénéficient d’une permission d’une semaine et rejoignent leur famille. Le parcours de chacun reflète l’oppression que subissent les Turcs face aux lois archaïques du pays et la désillusion de l’espoir d’une vie meilleure.
Note : Yol, la permission ouvre le cinéma turc à l’international en recevant la Palme d’or à Cannes en 1982, ex-aequo avec Missing de Costa Gavras.